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Avoir un chat en appartement

Le chat est un prédateur né, en appartement il n’aura pas grand chose à chasser, il faut donc essayer de lui enlever une partie de son agressivité et lui permettre de faire vivre ses instincts.

Un chat ne fait pas un deux repas par jours mais plus de 10 petits repas. Il faut lui mettre à disposition de la nourriture en permanence en libre service. Dans certains cas vous pouvez même lui disposer plusieurs points de nourriture dans la maison, à différentes hauteurs et dans différentes pièces.

Un chat a besoin de passer son instinct de chasseur par le jeu. N’hésitez pas à lui mettre à disposition des balles, des souris en plastique ou des boules de papier.

Dr. David Pelois
Dr. Stéphane Maquinay

123 avenue de Versailles
75016 Paris

01 42 88 74 17

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Mon chat – son éducation

Le chat n’est pas un petit chien, et cela se vérifie d’autant plus pour son éducation. Si le chien est un animal « hiérarchique » avec un dominant et un dominé, le chat quant à lui est un animal territorial. Cette notion de territoire est fondamentale pour établir une relation harmonieuse entre vous et votre chat..

Votre maison, appartement ou jardin, est le territoire que s’approprie votre chat. Il va délimiter sur ce territoire une aire de repos (panier, coussin, couverture ou couette pour dormir), une aire d’alimentation (accès à la gamelle de nourriture et à l’eau), une aire d’élimination ( litière, jardin pour ses besoins) et une aire de jeux (jeux et chasse).
En organisant votre espace au mieux, vous allez permettre à votre chat de s’épanouir dans son territoire, et ce quelle que soit la superficie de votre logement.

Moniteurs de suivi des constantes vitales

Nous disposons de 2 moniteurs multiparamètriques de suivi des patients:

  • Un Vetspecs SM100 : unité fixe toujours présente au bloc chirurgical, totalement adapté à notre activité de vétérinaire et notamment aux patients de très petites tailles (chats, petits chiens, NAC).
  • Un Vetcorder: portatif, transmettant à distance les informations par Wifi (il permet ainsi une utilisation pendant la phase de réveil, sur un patient en soins intensif, ou en consultation).Ce monitoring est surtout utilisé pendant nos actes chirurgicaux mais aussi pour les patients nécessitant d’être placés des soins intensifs.

Il permet de contrôler à tout moment:

  • La fréquence cardiaque et l’électrocardiogramme (ECG), soit par l’intermédiaire d’une sonde œsophagienne pour chien ou chat, soit à l’aide de « clips » atraumatiques.

  • Le pourcentage de saturation en oxygène des globules rouges par 2 capteurs : un capteur lingual ou à appliquer sur les coussinets (lors du détartrage par exemple).
  • La mesure de façon non invasive de la pression artérielle à l’aide de brassards adaptés à la taille du patient.
  • Un capnographe qui fournit des courbes de CO2 en temps réel, mesure les valeurs d’ETC02 ainsi que la fréquence respiratoire et produit des sons respiratoires. Le capnographe est essentiel pour mesurer la »qualité » de l’anesthésie.
  • La température corporellePendant l’acte chirurgical les patients sont contrôlés par le moniteur central Vetspece 100, puis le relais s’effectue à l’aide du vetcorder qui permet le monitoring des patients après l’anesthésie et jusqu’au reveil. L’ensemble de l’équipe soignante étant connecté par wifi (depuis les ordinateurs, tablettes et smartphones), aux données du monitoring, en temps réel, afin d’assurer une surveillance optimale.

Découvrez notre Bloc chirurgical

Présentation du Vetspecs SM100: sm100-email

Vidéo de présentation du vetcorder

Dr. David Pelois
Dr. Stéphane Maquinay

123 avenue de Versailles
75016 Paris

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Nos procédures de stérilisation

Comme dans tout univers hospitalier, la désinfection de toutes nos surfaces ainsi que la stérilisation du notre matériel chirurgical est un pré-requis indispensable et un élément prioritaire de prise de charge par toute notre équipe.

Pour cela nous disposons d’une zone spécialement dédiée à la désinfection et à la stérilisation de l’ensemble de notre équipement avec en particulier du matériel de pointe dans ce domaine :

  • Un bac à ultra-sons qui permet de réaliser une première étape de nettoyage et de désinfection en profondeur du matériel chirurgicale qui accepte l’immersion. Le procédé par utra-sons étant considéré comme la meilleure technique à l’heure actuelle de désinfection.

Une fois cette étape de désinfection-nettoyage effectuée nous procédons à l’étape de stérilisation.

  • Un poupinel (four à chaleur sèche) nous permet de stériliser tous les instruments qui acceptent de très hautes températures (comme les instruments de chirurgie par exemple).

  • Un autoclave Marque Getinge série K3 : permet une stérilisation par vapeur d’eau à haute pression pour notre matériel le plus sensible à la chaleur, comme les compresses, blouses et autres textiles, matériel en plastique (sondes trachéale, manche de bistouris électrique), contre-angles et fraises dentaires etc.

Enfin, pour tout ce qui n’est pas « stérilisable » par un de ces deux procédés, nous utilisons du matériel à usage unique.